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ESSURE – Courrier d’information sur les procédures judiciaires en cours

9 décembre 2016

Comme vous l’aurez lu dans la presse et notamment dans le Parisien du 9 décembre, nous avons lancé les procédures judiciaires pour plusieurs dossiers.

En effet, des audiences vont avoir lieu fin janvier 2017 devant le Tribunal de grande instance de Bobigny pour faire nommer des experts judiciaires chargés de confirmer le lien de causalité entre les dispositifs ESSURE et les troubles de mes clientes.

Par la suite, nous pourrons initier d’autres procédures contre le Laboratoire pour celles qui le souhaiteraient et dont le dossier serait complet.

Nous avons d’ores et déjà établi une liste de pièces médicales qu’il nous semble à ce stade indispensable de pouvoir produire et sur la base desquelles nous individualisons bien sur chaque assignation. Cette liste est bien entendu susceptible d’évoluer au fur et à mesure de l’avancée du contentieux, en fonction de son appréhension par les Experts et les contradicteurs adverses.

Pour mémoire, nous recherchons toutes les pièces médicales, permettant d’établir que la requérante :

– est bien porteuse des implants ESSURE ;
– a développé certains troubles l’amenant à consulter de nombreux médecins dans le cadre d’une recherche diagnostique étendue/a connu une altération inhabituelle de son état de santé, sans qu’il ne soit possible d’en identifier les cause ;
– s’est bien fait retirer ses implants, ou a en tout cas entamé des démarches auprès de ses médecins pour cela ;
– a subi de nombreux préjudices en lien avec son état de santé post ESSURE

Je vous rappelle bien sur que je suis, avec ma collaboratrice Laura BAROUKH, prêt à accompagner chacune d’entre vous de façon individuelle et ce, afin que vous bénéficiez des conseils les mieux adaptés à votre situation et des meilleures chances de succès pour votre dossier.

Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire :

– par mail : lb@dante-avocats.fr
– par téléphone : 01.43.22.44.53

Je termine ce courrier en vous précisant que, conjointement avec l’Association RESIST, j’ai sollicité de Madame la Ministre de la santé et de l’ANSM, en application du principe de précaution et dans l’intérêt des patientes, la suspension de la commercialisation du dispositif ESSURE en attendant que les résultats des études en cours soient rendus publics.

Pour télécharger ce courrier en pdf, cliquer ici.

Pour télécharger l’article du Parisien, cliquer ici

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